L’homme irrationnel
On savoure cette histoire entre thriller et comédie romantique, plus portée par ses interprètes que par un scénario un peu bancal.
Mais la magie opère avec cette nième déclinaison des obsessions de Woody Allen sur la culpabilité (on pense au Rêve de Cassandre) et cette espèce de désinvolture métaphysique et cynique très stimulante.
Joaquin Phoenix et sa nouvelle muse Emma Stone aux jeux complices et subtiles contribuent au succès de cette intrigue intense et glamour.
On a l’impression que Woody Allen, infatigable fait toujours le même film, mais on est en même temps à chaque fois étonné et surpris. Un sacré paradoxe.
Note : 14/20