Le parfum vert
Entre polar et bande dessinée, et malgré deux acteurs qui semblent y croire, on déchante rapidement car on peine à suivre cette enquête qui démarre sur les chapeaux de roue mais s’essouffle ensuite dans la côte.
Malgré l’humour que dégage Sandrine Kiberlain, le jeu de Vincent Lacoste ne convainc pas car sans complémentarité avec sa partenaire, et surtout le noeud scénaristique s’épuise et n’éclot pas.
L’enquête policière s’essouffle entre Rambouillet, Bruxelles et Budapest et le spectateur attend quelque chose qui ne vient pas, tandis que les dialogues prennent la tangente sans rien apporter au puzzle.
Bref, on a compris, avec un scénario sans queue ni tête et qui s’essouffle, le Parfum vert est (une BD) un film plutôt raté malgré une Sandrine Kiberlain étonnante et qui semble y croire. C’est bien la seule et c’est dommage !
Note : 12/20