La montagne
La sobriété est la principale caractéristique de cette production, on se laisse envouter et prendre par cette fable fantastique ou alors pas du tout.
L’irruption du fantastique est en effet ici interprété comme la métaphore d’une fusion dans tous les sens du terme entre un homme et la montagne. Le cadre majestueux du massif du Mont Blanc est ici le principal acteur de ce film poétique en dehors des sentiers battus.
Illustration d’un fantasme voire d’une folie, on suit un homme irrésistiblement attiré par une nature minérale au point de s’y perdre.
Avec « La montagne » la fusion de l’homme avec la nature prend une tournure originale, on se laisse porter entre poésie et fantastique. Ceux qui résistent s’y ennuieront. On conseille d’y laisser ses a-priori et de se laisser guider pour l’apprécier.
Note : 14/20