Salaud, on t’aime
Une chronique familiale dans un univers de luxe qui bascule dans le polar, pourquoi pas.
Mais en dehors des premières scènes de rencontre entre ce vieux photographe et la vendeuse de maison, on peine à croire à cette histoire tordue, mal ficelée et mise en scène sans originalité.
Hors Sandrine Bonnaire, dont on se demande ce qu’elle vient faire dans cette galère, aucun acteur ne sauve cette histoire improbable parsemée de lieux communs, de poncifs et de dialogues sans originalité.
En roue libre, les acteurs semblent ne pas y croire, et l »absence de direction d’acteurs est ici flagrante, doublée d’une image fade et d’un montage qui n’arrange rien.
Donnant l’impression de ne jamais finir, le sentiment général est celui d’une rencontre improbable entre copains qui hésitent entre un film familial et un polar.
Une histoire bricolée pour un résultat sans réelle conviction.
Note : 9/20.