The dead don’t die
L’irruption d’une histoire de zombies au Festival de Cannes est originale et peu commune, mais on le regrette déjà.
Jim Jarmush semble en effet plus à l’aise avec les vampires qu’avec les zombies. On fait référence bien sûr au magnifique et onirique « Only lovers left Alive » sorti en 2014. Ici, rien ne fonctionne, rythme mort, dialogues insipides, photographie moche et morale sans aucune originalité.
On est surpris de constater que malgré un casting très haut de gamme, rien n’est à sauver de cette production prétentieuse, laide et pseudo-branchée. Ce qui est plutôt rassurant, car un bon film, c’est d’abord un beau scénario.
Une déception à la hauteur des attentes. Un ennui abyssal pour un ratage sans équivoque.
Note : 11/20